Regard dans le rétro
« Faire avec le hasard et l’inattendu » : Pierre Planchenault résume ainsi le malin plaisir qu’il a pris à suivre le FAB, 10 ans durant. Parce que l’espace public et la variété des esthétiques offrent des possibilités infinies, le photographe a pu laisser libre cours à son regard et à sa sensibilité au fil des éditions. Theo Jansen poussant l’une de ses Strandbeests sur le Miroir d’eau (2022), le Piano Vertical suspendu à Brazza (2023)… en 20 tirages grand format, il raconte une décennie de rencontres entre un public, un territoire et des compagnies artistiques du monde entier.
Pierre Planchenault
Originaire du Blayais, PIERRE PLANCHENAULT a une prédilection pour les arts vivants qu’il photographie aussi bien sur scène que dans l’espace public métropolitain. Déjà présent derrière l’objectif pour plusieurs festivals (Chahuts, Novart…), c’est assez naturellement qu’il a embarqué dans l’aventure du FAB il y a 10 ans.